Conference
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Quelques actualités dont Estuaire se fait le relais :
Dans le cadre de ses 50 ans, l’Association pour la Protection de la Nature au pays des Olonnes (APNO) vous invite à découvrir le documentaire événement « La Fabrique des Pandémies », en présence de la réalisatrice Marie-Monique Robin.
LE 10 NOVEMBRE 2022 A 20H30
Au cinéma Le Palace aux Sables d’Olonne
A l’issue de la projection, vous pourrez échanger, débattre avec Marie-Monique Robin. C’est l’occasion de mieux comprendre le lien entre l’effondrement de la biodiversité et les pandémies et de s’interroger tous ensemble sur les nouveaux enjeux auxquels est confrontée l’humanité.
Dans ce documentaire événement, la comédienne Juliette Binoche cherche à saisir les causes de cette « épidémie de pandémies ». Elle part à la rencontre de scientifiques du monde entier pour comprendre quels sont les liens entre la santé humaine et la santé des écosystèmes.
Bande annonce
Renseignements et billetterie
https://apno.fr/2022/05/12/
fabrique-des-pandemies/ Contact 06 12 66 05 55
et
Meravenir organise une conférence sur le thème « Un océan de promesse » et nous voudrions vous faire partager cela en vous embarquant à cette soirée.
Cette mer qui nous nourrit, nous soigne, nous donne l’énergie au quotidien.
Philippe Goulletquer est titulaire d’un Doctorat en Océanographie Biologique de l’Université de Bretagne Occidentale (1989) et d’une Habilitation
à diriger des recherches (HDR) de l’Université de Caen (2000).
Il est actuellement en charge des questions liées à la biodiversité marine et côtière au sein de la Direction Scientifique de l’Ifremer.
Cette conférence a pour objectif :
- De sensibiliser les populations, notamment les jeunes, aux enjeux de la Mer (écologiques, climatiques, alimentaires, économiques, ..).
- De contribuer aux changements des mentalités et des pratiques individuelles et collectives.
- De rappeler l’importance des valeurs fondamentales, du respect de l’humain, de son nécessaire équilibre dans son environnement ; ceci dans une vision intergénérationnelle et internationale.
- Les acteurs de cette conférence vous proposent de vous immerger dans cet océan, pour vous faire découvrir les facettes et ses enjeux.
Description de la conférence
Un océan de promesses
Quel avenir pour nos mers et océans ?
Les ressources marines et l’ensemble des services rendus par la nature montrent des signes de profonds changements depuis quelques décennies en réponse au changement climatique et plusieurs pressions dont les pollutions. En mer, les déchets d’origine plastique se dégradent et certains voyagent sur des milliers de kilomètres avec des conséquences pour l’environnement, la santé, la pêche et la navigation. Ils sont devenus en quelques années le symbole de la pollution marine et l’un des moteurs de la transition environnementale.
Malgré tout, dans un monde confronté à des crises environnementales, énergétiques et alimentaires, les ressources marines présentent des atouts indéniables pour l’avenir. Après une présentation des pressions actuelles, sur les océans, illustrées d’exemples, un éclairage portera sur la préservation de la biodiversité marine, « pierre angulaire » du fonctionnement du milieu marin et source de nombreux services produits par l’environnement.
Si les ressources marines contribueront de plus en plus à l’avenir au bien-être humain quotidien, tant dans le domaine alimentaire que de la santé, l’énergie et la communication, il reste nécessaire d’accompagner ces développements par une approche durable. Tel est l’objectif de garantir le maintien de ces ressources pour nos vies futures face aux défis du changement global.
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Conférence : Dans le sillage des raies et des requins
Ce lundi 27 janvier a eu lieu une conférence intitulée dans le sillage des raies et les requins.
Elle s’entama avec la description du groupe auquel les raies et requins appartiennent : les chondrichtyens, signifiant poissons cartilagineux regroupant non seulement les requins et les raies mais aussi les chimères. Comme le nom l’indique, ces animaux possèdent un squelette constitué de cartilage tel que notre nez ou nos oreilles.
Ci dessus : requin pointe noire, raie pastenague à taches bleues et chimère éléphant
Les chondrichtyens sont apparus il y a 430 millions d’années, soit environ 200 millions d’années avant les dinosaures, cette période étant considérée comme l’âge d’or des poissons cartilagineux. Ils sont parvenus à traverser toutes les crises qui ont bien entendu réduit considérablement leur diversité (notamment celle du Permien, ayant éradiqué 90% des espèces marines). Les requins « modernes » sont apparus au mésozoïque (regroupant le trias, le jurassique et le crétacé), connu comme l’ère des dinosaures.
Même si leur diversité n’est plus à son apogée, ces super-prédateurs connaissent une variété de tailles (environ 15 m pour le requin baleine, 20 cm pour le sagre elfe), de formes (requin marteau, requin tapis, raie manta océanique et raies pastenague à taches bleues) et d’habitats (eau douce, salée, saumâtre, tempérée, tropicale, polaire). Ils peuvent être benthique, démersal, ou pélagique mais également vivre proche de la surface ou même à 2500 m.
Ci dessous un requin tapis et ci contre un poisson scie qui est une raie (branchies sur la phase ventrale)
Etre omniprésent dans les océans a été possible grâce aux différentes adaptations lui ayant permis de se glisser au sommet des chaines alimentaires. Sa peau est recouverte d’écailles placoïdes, étant en réalité de minuscules dents appelé denticules. Elles ont un rôle d’antifooling et sert à l’hydrodynamisme par la présence de petites carènes à leur surface (effet de riblet).
Quand on pense requin, on pense forcement dentition. En effet, les requins comme les raies ont des particularités au niveau de la mâchoire : celle-ci n’est pas soudée au crâne comme pour la plupart des animaux possédant des mâchoires (gnathostomiens). Cette adaptation leur permet d’ouvrir leur gueule avec une contrainte mécanique moindre, pour avaler de grandes proies. Leurs dents sont aussi variées chez les espèces que leur régime alimentaire, leur façon de se nourrir. Toutefois, elles ont un point commun : la pousse continuelle de nouvelles dents remplaçant immédiatement les dents perdues. Ainsi un requin tigre peut remplacer 24 000 dents au cours de sa vie.
Pour se nourrir, les requins vont pouvoir utiliser leurs sens afin de détecter les proies. D’abord, le requin perçoit sa proie par son ouïe. Le son se déplaçant 5 fois plus vite dans l’eau, les requins peuvent entendre à partir d’un kilomètre de distance et jusqu’à une dizaine de kilomètres pour les sons à basse fréquence (grave). Ensuite, l’odorat entre en jeu (2/3 de son cerveau étant réservé à l’olfaction), il peut suivre une trace odorante à plusieurs centaines de mètres. Il analyse les molécules odorantes grâce à ses narines, ne lui servant qu’à l’odorat. Doté d’une ligne latérale le long de son corps qui lui permet de sentir les vibrations et les différences de pression dans l’eau, il perçoit la nage frénétique des poissons blessés ou encore les bancs de poissons. Maintenant qu’il est assez près (moins de 100 m) il peut voir ses proies. Ses yeux ont la particularité de posséder un cristallin quasiment sphérique qu’il est impossible de contracter : il ne peut donc pas accommoder sa vision à la distance qu’il veut observer. Il voit donc relativement mal de loin mais bien de près (myopie). De plus, la lumière se diffusant mal en profondeur, les chondrichtyens ont une moins bonne perception des couleurs mais une très bonne perception des contrastes. Il possède également, dans le fond de l’œil, un tapetum lucidum que l’on retrouve chez les animaux nocturnes, augmentant la quantité de lumière capté.
Pour aller avec cette panoplie de sens, il possède un dernier atout : les ampoules de Lorenzini. Ces petites ampoules se trouvent autour de sa gueule. La perception de micro-impulsions électriques, qui apparaissent lors de la contraction d’un muscle, par exemple. Cet organe lui permet même de « sentir » ses proies dans le sable.
Ci contre : ampoule de Lorenzini (petits points noirs sur le museau)
Dépourvu de vessie natatoire (organe rempli de gaz, responsable de la flottabilité) comme les autres poissons, les chondrichtyens ont un foie disproportionné pouvant peser jusqu’au quart de leur poids total. Rempli d’une huile, le squalène, moins dense que l’eau, il évite ainsi à l’animal de couler. C’est également un avantage car les liquides étant incompressibles il peut alors changer de profondeurs à sa guise, beaucoup plus facilement et rapidement que ses proies. Malgré cela, le requin à une tendance naturelle à couler, ce qui ne lui permet pas de se placer face au courant de façon statique pour respirer. Il s’est alors adapté avec 2 types de respirations : la respiration passive, l’obligeant à nager constamment la gueule entre-ouverte pour laisser passer l’eau jusqu’aux branchies (afin d’en extraire l’oxygène), et la respiration active, que l’on retrouve chez les requins vivants sur le fond, qui est une contraction du pharynx pour forcer l’eau à passer jusqu’aux branchies.
Les requins ont une reproduction relativement violente. En effet, le mâle mord la femelle un peu partout pour pouvoir s’accoupler avec. Les femelles ont donc des denticules plus épaisses et plus larges pour résister à ces assauts. Les mâles ont, au niveau des nageoires pelviennes (les nageoires après les nageoires pectorales), deux ptérigopodes bien visibles étant ses organes copulateurs.
Chez les chondrichtyens, la fécondation est interne donnant ainsi plus de chance aux descendants de survivre. Au terme de cette fécondation, la mère peut pondre des œufs (oviparité) ou garder les œufs en elle jusqu’à ce qu’ils puissent éclore et continuer à se nourrir dans le ventre de la mère (ovoviviparité). Dans ce cas, les requineaux consomment des ovules non fécondés et/ou leurs frères et sœurs. C’est ce qu’on appelle le cannibalisme intra-utérin ou adelphophagie. La femelle peut également avoir des petits dans son utérus, reliés aux placentas par le cordon ombilical, comme chez les mammifères (viviparité). Plus récemment, on a découvert que chez certaines espèces, les femelles pouvaient mettre bas seules, sans la contribution d’un mâle, c’est la parthénogenèse.
En terme de reproduction, on peut prendre l’exemple du requin du Groenland qui n’atteint sa maturité sexuelle qu’à 150 ans, tout en ayant une espérance de vie de plus 400 ans. Ce qui en dit long sur la faible fécondité de certaines espèces de chondrichtyens.
Dans la culture populaire occidentale, le requin a très mauvaise presse, on le décrit comme un animal assoiffé de sang et particulièrement féroce. En revanche, certaines tribus du Pacifique le vénèrent comme un dieu et y voient la réincarnation des membres de leur famille.
Sous le mot requin se cache environ 450 espèces dont seulement 4 présentent un potentiel danger pour l’Homme : le requin tigre, le grand requin blanc, le requin océanique et le requin bouledogue. Ces espèces ne causant qu’une dizaine de décès par an. En comparaison, les chutes de noix de cocos causent la mort de 150 personnes par an. Aussi spectaculaire puissent être les attaques, le requin ne représente pas un véritable danger si on fait attention aux lieux de baignade et aux conditions météorologiques avant de se mettre à l’eau.
On a alors à faire à un combat inégal : près de 100 millions de requins sont tués chaque année pour la pharmacologie, l’alimentation, les objets décoratifs et les cosmétiques. Cela représente un véritable problème : la faible fécondité des requins ne leur permet pas de pouvoir renouveler les stocks et cela bouleverse le fragile équilibre de la chaîne alimentaire, ayant un impact direct sur toutes les populations animales et végétales marines.
Pour finir la conférence, nous avons pu parler des espèces de raies et de requins vivants le long de nos côtes. Pour illustrer ceci, des œufs, préalablement ramassés sur les plages ont été présentés.
Le reste d’un animal trouvé sur la plage, a été ramené par une bénévole. Il s’agissait d’un crâne de raie (Voir photos ci-dessus).
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Conférence : Abysses, dans les profondeurs de l’inconnu
Ce lundi 13 janvier à eu lieu la conférence sur les abysses afin de sensibiliser les personnes à la beauté et à la fragilité des profondeurs océaniques.
Du grec « abyssos » signifiant grand fond, les abysses restent relativement inexplorées ( 5% des océans explorés ). Cela est le fait de la pression y régnant, la profondeur moyenne des océans étant 3800m.
La lumière ne pénètre pas en dessous des 100m de profondeurs, donc aucune photosynthèse possible. Comment se nourrir sans les producteurs primaires ?
-Migrations verticales
-Chimiosynthèse au niveau des fumeurs noirs, Bactérie utilisant de la matière inorganique rejetée par les fumeurs pour synthétiser du sucre.
-Neige marine : agrégat de matière organique tels que les matières fécales, cadavres… etc
-Cadavres de baleines créant un écosystème pour plus d’une centaine d’années.
Nous avons ensuite vu que la bioluminescence était un phénomène relativement courant dans les abysses ( 95% des animaux abyssaux ).
Pour finir nous avions découvert certaines créatures des profondeurs et évoqué les menaces pesant sur eux même a 11 000m de profondeurs (plastiques et polluants sur-concentrés dans les organismes).
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Conférence sur l’océan le 23/10
Cette conférence a traité du grand thème de l’océan. Nous l’avons aborder sous différents angles : les courants marins, son impact sur le climat, ses écosystèmes, ses ressources et ses mystères.
Nous connaissons actuellement mieux la surface de la lune que le fond des océans, seulement 10 % ont été explorés par l’Homme. On estime à 91 % d’espèces qui restent encore à découvrir. (250 nouvelles espèces de poissons marins qui sont répertoriées chaque année)
En plus de toutes les merveilles qu’il nous offre à observer et découvrir, l’océan est aussi un incroyable puits de ressources pour l’homme : pêche, aquaculture, hydrocarbures (pétrole, hydrates de gaz), énergies renouvelables marines (hydroliennes, éoliennes flottantes, usines marrémotrices et houlomotrices), matériaux de constructions, métaux rares (nodules polymétalliques), sel, agriculture littorale, eau de mer dessalée …
En effet, plus de 50% de la population vit sur le littoral et 3,5 milliards de personnes dépendent des océans pour leur subsistance : 2 560 milliards d’euros, c’est la valeur annuelle des activités directement liées à la mer.
Dans un deuxième temps nous avons pris une approche un peu plus scientifique pour expliquer les grands phénomènes de son fonctionnement :
Les différentes zones de l’océan :
La circulation thermohaline (grands courants qui régissent le climat) :
La chaîne alimentaire et le grand cycle de la matière organique marine :
Nous avons aussi fait un point sur le phytoplancton (plancton végétal) qui existe depuis le début de la vie sur terre. Il produit la moitié de l’oxygène que nous respirons et est à la base de toute la chaîne alimentaire.
Enfin, nous avons parlé d’un sujet peu joyeux mais important, à savoir les mauvais traitements que celui-ci subit de la part de l’homme.
En effet, 80% des espèces de poissons sont victimes de la surpêche ou au bord de l’être,
plus de 30 milles tonnes de déchets se déversent annuellement dans nos océans (il y aura bientôt plus de plastiques que de poissons), 80% des eaux usées dans le monde sont rejetées dans la mer sans traitements, alors que seulement 2,8% des océans sont protégés. Sans compter le réchauffement climatique qui menace énormément d’espèces (écosystème corallien, …) et pourrait engendrer des centaines de millions de réfugiés climatiques.
Notre océan a 3,8 milliards d’années. Il est témoin de l’histoire de notre planète et mérite toute notre attention pour veiller à sa protection. Des océans dépend toute la vie sur Terre, que se soit par l’oxygène qu’ils produisent, où les ressources qu’ils nous offrent.
Majestueux et impétueux, les océans regorgent encore d’innombrables secrets qu’il nous tarde de découvrir.
Si l’Homme continue sur sa lancée, ces mystères pourraient rester enfouis à jamais.A la fin de la présentation, nous avons, le temps d’un goutté pris quelques minutes pour discuter ensemble de tous les sujets évoqués et essayer de trouver certaines solutions aux problèmes cités précédemment.
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Conférence sur les différentes pollutions 17/10
Durant cette conférence, nous avons traité du thème de la pollution, c’est à dire des dégradations de l’environnement par des substances naturelles, chimiques ou radioactives, des déchets ou des nuisances diverses (sonores, lumineuses, … ). Bien qu’elle puisse avoir une origine entièrement naturelle (éruption volcanique, par exemple), elle est principalement liée aux activités humaines.
Nous avons vu ses différents biais de propagation (eau, air et sol), et les principaux types de pollutions (Chimiques, Solides, Biologique, Radioactive, Électromagnétique, Sonore, Lumineuse et Visuelle )
Nous avons ensuite détaillé les principales causes et conséquence des diverses pollutions.
A savoir :
Principales conséquences :
- Terres englouties, réfugiés climatique
- Dérèglement climatique : ouragans et cyclones plus intenses
- Sécheresses, famines, cancers et maladies
- Impacts économiques et conflits
- Mort de la biodiversités: une espèce sur six pourrait disparaître (plantes, insectes, oiseaux) plus de pollinisation, plus de légumes
etc …
Principales causes :
1) Le réchauffement climatique
Dû à un équilibre naturel perturbé par les gaz à effet de serre « additionnel » ou anthropique (dû à l’homme) : CO2 65%, Méthane 15%, Le protoxyde d’Azote (N2O) 5%, L’Ozone (O3) troposphérique 10%. Leur effet entraînant, et étant accru par la baisse d’albédo, l’augmentation de l’évaporation, et le trou dans la couche d’Ozone.
Ces gaz proviennent :
• pour l’essentiel de la combustion des énergies fossiles : charbon, pétrole, gaz ( transports, chauffage et élevage principalement )
• pour partie de certaines industries (par exemple pour la production de ciment)
• enfin pour une part non négligeable de la déforestation, notamment en zone tropicale2) Les Pollutions chimiques (terre, eau et air)
Dues aux transports, rejets d’usines, déchets, marées noires, pesticides, engrais, écoulements des villes, rejets ménagers (médicaments et biocides rejetés via des eaux usées et que les stations d’épuration et le lagunage ne savent pas traiter).
3) Les déchets
En deuxième partie, nous avons vu comment lutter, et quels sont les gestes simples que chacun de nous pouvons adopter au quotidien pour :
- Consommer mieux et moins
- Économiser l’énergie (eau et électricité)
- Se déplacer moins et mieux
- Réduire ses déchets
- Construire durablement
- Réduire les pesticides, rejets toxiques domestiques et industriels
- Partager (montrer l’exemple et informer)
Vous pouvez retrouver tous ces gestes sur WWF : https://www.wwf.fr/agir-au-quotidien
Enfin, nous avons pris un moment pour discuter de ce sujet, partager notre vécu et essayer de trouver ensemble de solutions à ce problème.
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Conférence du 27/08 sur les vers luisants et la pollution lumineuse
Bonjour à tous,
Voici le montage vidéo de la conférence sur l’impact de la pollution lumineuse sur les vers luisants qui c’est déroulé la semaine dernière au local de l’association. Marion Moing, stagiaire au Groupe Associatif Estuaire nous y présente ses 2 mois de travail. -
Conférence « le sable marin : origine, enjeux naturels et industriels »
Vendredi 5 avril, l’association Meravenir vous propose la
conférence :
« Sable marin : origine, enjeux naturels et industriels »
Présenté par Eric Chaumillon, Professeur à l’Université de La Rochelle.
Cette conférence destinée au grand public présentera cette ressource minérale ( la plus exploitée après l’eau ) depuis ses origines jusqu’à son intérêt dans la protection des côtes et dans l’industrie.
Rendez-vous le 5 avril 2019 à 18h à la Salle de la Licorne au Havre d’Olonne.
Participation : 5€
Contact : 06 80 45 49 80
Retrouvez le programme prévisionnel 2019 des actions de Meravenir ici.