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Balade automnale en forêt le 20/11
Durant cette balade automnale, Jack et Johnny nous ont présenté plusieurs espèces d’arbres et de plantes présentes dans le bois du Veillon ainsi que leurs diverses particularités et utilisations.
Nous pouvons observer sur les photos ci dessus une pomme (organe reproducteur femelle) de pin maritime reconnaissable à ses grandes aiguilles pointues à gauche, et à droite l’organe reproducteur mâle, produisant du pollen orange.
La résine du pin sert notamment à la fabrication de l’essence de térébenthine mais aussi de la colophane.
Photo 1 : une espèce de Lichen; Les lichens sont des organismes symbiotiques entre une algue et un champignon, il sont très résistants et peuvent vivre dans des conditions extrêmes (déserts, sols glacés, anoxie…)
photo 2 : Une mousse sphaigne ; les mousses peuvent résister très longtemps à la dessiccation et se réhydrater en quelques minutes en présence d’eau.
Photo 3 : la fougère Polypode, ou Réglisse des bois, dans le temps on faisait sécher ses racines qui ont un gout sucré de réglisse.
Photo 4 : l’Arbousier ou Arbre à fraises; ses fruits sont comestibles et font de succulentes confitures
Photo 1 : Le Houx; le Houx est une espèce dioïque : un pied est soit mâle soit femelle (seule les femelles font des boules rouges) c’est une espèce porte bonheur dans la tradition chrétienne.
photo 2 : La Fougère aigle; très présente dans les sous bois.
Photo 3 : Le Fragon faux houx ou Fragonnette, ses branches servaient à l’époque à faire des balais
Photo 4 : une espèce de champignon, ces derniers sont très présents et de toutes sortes en cette saison
Nous avons ensuite continué notre promenade à travers bois à la recherche d’autres espèces à découvrir en observant la forêt environnante où nous avons pu voir des traces de chevreuils.
Nous avons terminé notre trajet avec ce magnifique point de vue sur l’estuaire observable depuis la dune boisée.
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Atelier cuisine avec les algues le 15/11
Nous avons commencé cet atelier par une petite présentation des algues comestibles que l’on peut trouver sur nos côtes ainsi que leurs utilisations.
Himanthalia elongata (Haricot de mer), Palmaria palmata (Dulce), Ulva lactuca (Laitue de mer)
Porphyra ombilicalis (Nori), Saccharina latissima (Kombu) / ou autres laminaires, Undaria pinnatifida (Wakamé), Chondrus crispus (Le Pioka), Osmundea pinnatifida (Poivre de mer)Nous avons ensuite préparé les ingrédients pour les deux recettes suivantes : recette avec des algues
Tout d’abord nous avons réalisé la recette du tartare avec les algues ramassées à la plage du Veillon la veille, à savoir :
- Osmundea pinnatifida (Poivre de mer)
- Porphyra ombilicalis (Nori)
- Ulva lactuca (Laitue de mer)
Nous avons ensuite pu déguster notre succulent tartare avec un peu de beurre et de pain.
Pour la deuxième recette, nous avons préparé une crème dessert à base de lait et de gélifiants extraits de l’algue Chondrus crispus (Goemond frisé ou Mousse d’Irlande) également ramassée la veille.
Vous pouvez conserver les algues plusieurs jours au frais dans de l’eau de mer, plusieurs semaines au sel ou plusieurs mois en les faisant sécher au préalable, puis en les réhydratant ou les consommant telles quelles.
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Atelier zéro déchet le 07/10
Durant cet atelier, nous avons abordé ensemble le concept zéro déchet et ses intérêts :
Economiques, écologiques, pour la santé, esthétiques.
Chaque Français jette en moyenne 573 kg de déchets par an.
34 % sont composté ou recyclés, 30 % incinérés, et 36% enfouis en décharge.
L’incinération est polluante (atmosphère + résidus de métaux lourds concentrés)Les décharges sont souvent à ciel ouvert, permettent aux déchets de s’échapper dans la nature et génèrent du méthane et un jus toxique (lixiviat) qui s’infiltre dans le sol et les nappes phréatiques.
Le recyclage quant à lui est énergivore et n’est pas infini : le meilleur déchet est celui qui n’est pas produit !
Enfin, on estime qu’un tiers de ce que l’on jette à la poubelle fini dans les océans, provoque de graves conséquences dans l’écosystème, et est un empoisonnement chronique pour les poissons qui finissent dans nos assiettes.
Voici donc comment lutter contre ce problème :
En adaptant sa consommation : acheter moins et mieux : (éthique et de bonne qualité, durable)
En faisant ses courses en vrac, en prenant ses propre contenants, en achetant des produits locaux, sans emballages, sans plastique, ou avec des emballages recyclables.
En choisissant les endroits où faire ses courses : préférer les fermes, amaps, marchés, biocoops, artisans locaux…
En remplaçant certains objets du quotidien et en faisant sois même le plus possible :
Lors de cet atelier, nous avons vu que nous pouvions remplacer presque tous les objets de notre quotient par des objets plus écologiques, et faire soit même nos produit ménagers et cosmétiques avec seulement quelques produits de bases :
Nous avons également vu plusieurs recettes de produits faciles à faire sois même :
un nettoyant sol, un nettoyant multi-surface, une crème à récurer, de la lessive, une éponge à vaisselle, un produit pour le lave vaisselle, du shampoing, du dentifrice, et du déodorant.
Les bénévoles participants ont pu rentrer avec leurs petits pots de produits fabriqués lors de l’atelier pour les essayer chez eux.
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Sortie découverte des algues le 30/10
Nous avons commencé cette sortie par un petit cours de biologie végétale marine :
Nous avons d’abord différencié les microalgues qui forment le phytoplancton (diatomées, cyanobactéries, dinoflagélés, cocolithoforidés …), elles sont la base de la chaîne alimentaire et produisent 50 % de l’oxygène sur Terre. Et les macroalgues (algues de grande tailles visible sur l’estran).
On compte 3 voire 4 groupes d’algues principaux : vertes, rouges, marrons, et bleues (microalgues cyanobactéries)
Le terme algues est pratique à utiliser dans le langage courant, même s’il perd toute signification dans la classification scientifique (les animaux sont plus proche des champignons que les algues vertes des algues brunes par exemple).
On peut définir les algues comme des organismes végétaux (généralement aquatiques), capables de faire la photosynthèse grâce à des pigments (pas que la chlorophylle), mais qui n’ont pas acquis la reproduction évoluée des végétaux supérieurs (plantes à fleurs).Les algues ont deux modes de reproduction la voie sexuée et la voie asexuée
La reproduction asexuée se fait sans organes sexuels (bourgeonnement, fragmentation, bouture, sporulation, …)Pour la reproduction sexuée, cela va d’un cycle très simple (similaire à celui des animaux), à un cycle très complexe faisant se succéder deux (exemple de l’ulve ci dessous) ou trois générations d’individus sexué puis asexué (gamètes puis spores), de formes parfois très différentes.
L’homme a de tout temps utilisé les algues, de multiples façons :
En alimentation : complément alimentaire riche en protéines et en vitamines, gélifiants ou épaississants (alginates, carraghénanes, agar agar), colorants (pigments xanthophylles, chlorophylles, caroténoïdes, … : bleu, rouge, orange, vert). Mais aussi en cosmétique, médecine, textile, papeterie, biocarburant, aquaculture, engrais, épuration, plastique biodégradable, extraction de calcaire (maërl), extraction d’iode (par brûlage), ….Elles ont également un grand rôle dans l’écosystème: Indice de qualité des eaux, nourriture, habitats et engrais.
Les algues se répartissent sur l’estran en fonction de leur tolérance à la dessiccation, les plus résistantes en haut et les moins résistantes en bas. On peut donc observer des « ceintures » d’algues qui détermine un niveau de l’estran (pelveties en haut, fucus au milieu et laminaires en bas).
Leur pigmentation dépend aussi de la profondeur à laquelle elles se trouvent: en profondeur seuls les rayons bleus traversent l’eau, nous trouverons donc plutôt des algues à pigmentation rouge (les pigments absorbent la couleur opposée pour effectuer la photosynthèse) et donc pas d’algues vertes.
On peut également noté que dans une même région, nous ne trouverons pas les même algues sur un estran abrité que dans un estran exposé aux vagues.
Nous somme donc ensuite partis sur l’estran pour observer, reconnaître les algues, leurs particularités, et en prélever quelques unes.
Nous avons enfin fait une point ensemble sur les algues ramassées et leurs utilisations.
Nous avons notamment pu observer :
des algues brunes :
1. Le fucus dentelé , 2. Le fucus vésiculeux : algues goémon utilisées en engrais
des algues rouges :
1. La Porphyra (ou Nori), 2. Le Crispus chondrus (Pioka), .3 Osmundea pinnatifida (Poivre de mer), 4. Palmaria palmata (Dulce) : algues d’utilité culinaire
Des algues vertes:
Ulva lactuca (Laitue de mer) : algue d’utilité culinaire
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Tortue échouée sur la plage de Longeville
Des sentinelles nous ont informés samedi dernier de la présence d’une tortue morte échouée sur la plage de Longeville Longe 17.
D’après les photos, cela semble être une tortue luth.
Ils ont directement appelé l’aquarium de La Rochelle qui avait déjà reçu le signalement.L’évacuation de l’animal sera donc effectué, ainsi qu’une étude afin de comprendre les causes de l’échouage pour éventuellement trouver des solutions pour pallier à ce problème, si la cause n’est pas « naturelle ».
Si vous observez vous aussi un échouage d’animal vivant ou mort, vous pouvez vous référer à notre page : procédure en cas d’échouage
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Conférence sur l’océan le 23/10
Cette conférence a traité du grand thème de l’océan. Nous l’avons aborder sous différents angles : les courants marins, son impact sur le climat, ses écosystèmes, ses ressources et ses mystères.
Nous connaissons actuellement mieux la surface de la lune que le fond des océans, seulement 10 % ont été explorés par l’Homme. On estime à 91 % d’espèces qui restent encore à découvrir. (250 nouvelles espèces de poissons marins qui sont répertoriées chaque année)
En plus de toutes les merveilles qu’il nous offre à observer et découvrir, l’océan est aussi un incroyable puits de ressources pour l’homme : pêche, aquaculture, hydrocarbures (pétrole, hydrates de gaz), énergies renouvelables marines (hydroliennes, éoliennes flottantes, usines marrémotrices et houlomotrices), matériaux de constructions, métaux rares (nodules polymétalliques), sel, agriculture littorale, eau de mer dessalée …
En effet, plus de 50% de la population vit sur le littoral et 3,5 milliards de personnes dépendent des océans pour leur subsistance : 2 560 milliards d’euros, c’est la valeur annuelle des activités directement liées à la mer.
Dans un deuxième temps nous avons pris une approche un peu plus scientifique pour expliquer les grands phénomènes de son fonctionnement :
Les différentes zones de l’océan :
La circulation thermohaline (grands courants qui régissent le climat) :
La chaîne alimentaire et le grand cycle de la matière organique marine :
Nous avons aussi fait un point sur le phytoplancton (plancton végétal) qui existe depuis le début de la vie sur terre. Il produit la moitié de l’oxygène que nous respirons et est à la base de toute la chaîne alimentaire.
Enfin, nous avons parlé d’un sujet peu joyeux mais important, à savoir les mauvais traitements que celui-ci subit de la part de l’homme.
En effet, 80% des espèces de poissons sont victimes de la surpêche ou au bord de l’être,
plus de 30 milles tonnes de déchets se déversent annuellement dans nos océans (il y aura bientôt plus de plastiques que de poissons), 80% des eaux usées dans le monde sont rejetées dans la mer sans traitements, alors que seulement 2,8% des océans sont protégés. Sans compter le réchauffement climatique qui menace énormément d’espèces (écosystème corallien, …) et pourrait engendrer des centaines de millions de réfugiés climatiques.
Notre océan a 3,8 milliards d’années. Il est témoin de l’histoire de notre planète et mérite toute notre attention pour veiller à sa protection. Des océans dépend toute la vie sur Terre, que se soit par l’oxygène qu’ils produisent, où les ressources qu’ils nous offrent.
Majestueux et impétueux, les océans regorgent encore d’innombrables secrets qu’il nous tarde de découvrir.
Si l’Homme continue sur sa lancée, ces mystères pourraient rester enfouis à jamais.A la fin de la présentation, nous avons, le temps d’un goutté pris quelques minutes pour discuter ensemble de tous les sujets évoqués et essayer de trouver certaines solutions aux problèmes cités précédemment.
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Conférence sur les différentes pollutions 17/10
Durant cette conférence, nous avons traité du thème de la pollution, c’est à dire des dégradations de l’environnement par des substances naturelles, chimiques ou radioactives, des déchets ou des nuisances diverses (sonores, lumineuses, … ). Bien qu’elle puisse avoir une origine entièrement naturelle (éruption volcanique, par exemple), elle est principalement liée aux activités humaines.
Nous avons vu ses différents biais de propagation (eau, air et sol), et les principaux types de pollutions (Chimiques, Solides, Biologique, Radioactive, Électromagnétique, Sonore, Lumineuse et Visuelle )
Nous avons ensuite détaillé les principales causes et conséquence des diverses pollutions.
A savoir :
Principales conséquences :
- Terres englouties, réfugiés climatique
- Dérèglement climatique : ouragans et cyclones plus intenses
- Sécheresses, famines, cancers et maladies
- Impacts économiques et conflits
- Mort de la biodiversités: une espèce sur six pourrait disparaître (plantes, insectes, oiseaux) plus de pollinisation, plus de légumes
etc …
Principales causes :
1) Le réchauffement climatique
Dû à un équilibre naturel perturbé par les gaz à effet de serre « additionnel » ou anthropique (dû à l’homme) : CO2 65%, Méthane 15%, Le protoxyde d’Azote (N2O) 5%, L’Ozone (O3) troposphérique 10%. Leur effet entraînant, et étant accru par la baisse d’albédo, l’augmentation de l’évaporation, et le trou dans la couche d’Ozone.
Ces gaz proviennent :
• pour l’essentiel de la combustion des énergies fossiles : charbon, pétrole, gaz ( transports, chauffage et élevage principalement )
• pour partie de certaines industries (par exemple pour la production de ciment)
• enfin pour une part non négligeable de la déforestation, notamment en zone tropicale2) Les Pollutions chimiques (terre, eau et air)
Dues aux transports, rejets d’usines, déchets, marées noires, pesticides, engrais, écoulements des villes, rejets ménagers (médicaments et biocides rejetés via des eaux usées et que les stations d’épuration et le lagunage ne savent pas traiter).
3) Les déchets
En deuxième partie, nous avons vu comment lutter, et quels sont les gestes simples que chacun de nous pouvons adopter au quotidien pour :
- Consommer mieux et moins
- Économiser l’énergie (eau et électricité)
- Se déplacer moins et mieux
- Réduire ses déchets
- Construire durablement
- Réduire les pesticides, rejets toxiques domestiques et industriels
- Partager (montrer l’exemple et informer)
Vous pouvez retrouver tous ces gestes sur WWF : https://www.wwf.fr/agir-au-quotidien
Enfin, nous avons pris un moment pour discuter de ce sujet, partager notre vécu et essayer de trouver ensemble de solutions à ce problème.
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Atelier pièges à Chenilles processionaires le 11/10
Lors de cet atelier, nous nous sommes intéressés à l’espèce invasive que sont les Chenilles processionnaires du pin. En effet, ces chenilles, nommées d’après leur mode de déplacement en file indienne, se nourrissent des aiguilles de diverses espèces de pins, provoquant un affaiblissement important des arbres. Ses poils urticants, sont à l’origine de brûlures et chez certaines personnes, d’allergies.
La chenille est en fait la larve d’un papillon de nuit, le Thaumetopoea pityocampa. Lors de leur cycle de vie, elles formes des gros cocons blanc aux bouts des branches où elles passent l’hiver. Au printemps, elles descendent de l’arbre en procession dans le but de s’enterrer au pied de celui-ci et de se métamorphoser en papillon pour poursuivre ensuite son cycle de reproduction.
Pour en savoir plus sur cette espèce vous pouvez vous rendre sur le site : https://chenilles-processionnaires.fr/chenille-processionnaire-du-pin.htm
Ces chenilles ayant peu de prédateurs (ex: mésanges), en grande partie à cause de leurs poils urticant, il est assez difficile de lutter contres elles.
Mais il existe quelques moyens de lutte écologique comme l’élagage des arbres ou le piégeage.
Dans cette optique, nous avons appris aux bénévoles présents à fabriquer eux mêmes un piège à chenilles que nous avons ensuite posé dans les dunes de la Guittière particulièrement infectées.
Ce système permet de bloquer les chenilles lors de leur descente de l’arbre pour les capturer dans un sac et ensuite les éliminer (en les brûlant).
Si vous le souhaitez, nous pouvons vous envoyer gratuitement le protocole de fabrication, et/ou venir vous aider à installer le piège chez vous . Vous pouvez nous faire une demande au 02 51 20 74 85 ou à sentinelle@estuaire.net
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Ramassage de déchets sur la plage des Grottes le 07/10
Lundi dernier, Nous avons marché vers la plage des Grottes située après la pointe du Payré à jard sur mer.
Cette Magnifique plage est assez sauvage grâce à son accès « difficile » (30 minutes de marche). Mais étant très exposée aux courants marins, après les grandes marrées, beaucoup de déchets viennent s’échouer sur celle-ci.
Avec un petit groupe de bénévoles, nous avons longé la plage pour ramasser tous les déchets que nous voyons.
Nous avons, au total, rempli 6 sacs de courses avec principalement des restes de filets de pêche. Nous avons aussi ramassé beaucoup de polystyrène, qui avec sa légèreté s’était propagé plus loin dans la dune et était resté coincé dans les herbes et les oyats. Enfin, des bouteilles plastiques, toutes sortes d’emballages et deux poches à huîtres ont également été trouvés.
A savoir que le plastique est le déchet avec la plus longue durée de vie (De 100 à 1 000 ans pour se décomposer). De plus, celui-ci n’est pas recyclable à l’infini, quand il est recyclable. C’est pour ces raisons qu’il faut, dans la mesure du possible, l’éviter : en particulier les plastique à usage unique (emballages alimentaires, couverts jetables, …), et préférer des emballages en verre, carton, ou au mieux acheter en vrac.
Merci à tous d’avoir participé à diminuer la pollution de nos océans et à rendre sa beauté à notre paysage.
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Sortie pêche à pied et découverte de l’estran du 02/10
Nous avons commencé notre sortie par un petit cour de biologie et zoologie marine pour présenter l’estran, son écologie et les principaux groupes d’animaux que l’on peut y trouver.
Nous sommes ensuite aller sur l’estran à la recherche des animaux qui l’habitent.
(Vidéo réalisée par Johnny Lenormand)
A la fin de notre pêche, nous avons mis en commun notre récolte. Puis nous avons identifié et observé les différents animaux trouvé ainsi que leur particularités.